La cinquième heure vient de sonner au cadran d'Olibrius. Au détour d'un passage par la salle de bain, les idées qui m'accompagnaient lors de ma promenade d'hier m'ont rattrapé. J'étais resté avec cette vision, était-elle celle de Madame Guillon ou, si j'avais bien compris, l'écho de l'homme tel l'eau qui va du torrent à la mer, qui doit se dissoudre, se disperser, pour fusionner mais, avec la mer, comme l'âme de l'humain doit fusionner avec Dieu ?
Spinoza s'est soudain joint à la conversation. Hélas, pour moi, plus de Dieu, mais une nature avec tout son panthéisme. Puis, voilà, Dieu qui n'est plus là, car malheureusement lui aussi s'est dissout au fil de ma raison. J'ai perdu un compagnon de discussion, un accompagnateur de prières, et je cherche. Dialogue avec la Nature ?
Et voilà, qu’après Dieu, le démon fait son apparition puis sa disparition puisque si pas de Dieu, pas de démon. Le démon, ou mon démon, ou mes démons ? Le bien et le mal ? La nuance a-t-elle un sens ? Oui, pour le comportement de l'homme, véritablement et indubitablement. Pourtant, ce bien, ce mal, n'est-ce pas en soi un dualisme illusoire ?
Je me souviens d'une petite histoire de mon enfance : une jeune fille devait aider l'âme d'un revenant à accomplir une bonne action. L'homme avait réussi à faire livrer un piano à un pauvre enfant qui ne pouvait s'entraîner et dont les parents se désolaient de ne pouvoir l'aider à développer son amour pour la musique. Sauf que, malheureusement, notre revenant n'avait pas vu que le gamin n'était pas vraiment intéressé par la musique, mais passionné de mathématiques, passion que ses parents n'appréciaient guère. En livrant le piano, il l'avait éloigné de son véritable amour : les mathématiques. Cette bonne action n'en était donc pas vraiment une !
Ainsi, ce qui fait du bien et ce qui fait du mal peut être la même chose ! Et voilà que le père Maurice revient avec son explication de la genèse, selon laquelle Adam et Ève avaient été chassés du paradis terrestre. Ils n'auraient pas dû goûter à l'arbre de la connaissance du bien et du mal ! Et comme de bien entendu, guidés par le perfide serpent, ils avaient chuté et étaient déchus. Très martiniste tout ça, très à la sauce Martinez de Pasquali.
En définitive, différencier le bien du mal, n'est-ce pas entrer dans une dualité et donc, comme le souligne Watzlawick, tomber dans un paradoxe inhérent à cette dualité ? Fusionner avec Dieu, plus besoin de se prendre la tête. Est-ce qu'en définitive, la raison s'exerçant sur le bien et le mal, n'est-il pas possible d'en sortir ? Avec pourtant une réalité de ce qui fait du bien et de ce qui fait du mal ?
"Fais pas ça, c'est pas bien", ou "Fais ça, c'est bien", n'est-ce pas en définitive dès l'enfance que nous sommes confrontés à ce gros problème philosophique, qui est même paradoxal et dont on ne sort pas facilement ? N'est-ce pas là, en définitive, la malédiction de notre condition ?
Mais revenons à ce compagnon que je n'ai pas pour prier, pour dialoguer, pour me sentir relié à ce monde, car ce monde peut être à la fois bien et mal, me faire du bien, me faire du mal, et je ne sais jamais si je peux lui faire confiance. Et revoilà la confiance qui se pointe. Confiance en soi, confiance en l'autre, confiance dans le monde, confiance en Dieu, méfiance envers le démon. On est coincé.
Il faut sortir de cette dualité par le ternaire, paraît-il, par quelque chose qui englobe et réunit l'un et l'autre. C'est clair que si j'ai bien compris ce que racontaient les éléments théologiques, c'est que même le démon devait être racheté par le sacrifice du fils de Dieu. En fait, dans cette grande réintégration, le bien et le mal ne doivent plus former qu'un, ou en tout cas être transcendés par quelque chose qui les rend inopérants ou plutôt les dépasse.
C'est quoi ce quelque chose, ce terme, n'est-ce pas Dieu en trois personnes ? Une nature dont j'ai découvert qu'elle n'est ni bonne ni mauvaise en définitive, mais que le bon et le mauvais, le bien et le mal, ne sont qu'en définitive le fardeau de l'homme. L'animal ne se pose pas la question de savoir si c'est bien ou si c'est mal, s'il fait souffrir ou non, car c'est sa nature. Le lion ne sera pas jugé pour avoir dévoré le zèbre, le serpent pour avoir étouffé, dévoré, c'est dans leur nature. C'est ainsi qu'ils ont été programmés.
Mais il semble que ce chaos, cette nécessité de s'entre-dévorer soit lié à la faute de l'homme et à sa chute ? Il doit y avoir un problème logique dans ces histoires, car l'homme, étant apparu après la création du monde d'après la science, ne peut pas avoir provoqué ce côté ambigu, ambivalent du bien et du mal. Il y a quelque chose à revoir dans ce discours de la Genèse.
Le bien et le mal sont apparus avec la prise de conscience de l'homme, et là la malédiction a commencé. Dieu et le démon sont apparus, en tout cas tels que nous nous les représentons. Cette représentation n'est jamais qu'une création de l'homme, mais qu'est-ce que l'univers en définitive ? Il doit échapper à l'un et à l'autre, avec ou sans créateur avéré. Son créateur, il faut en comprendre la nature. Avec un créateur, il faut en comprendre les intentions, si c'est à la hauteur de notre entendement !
Maintenant que j'ai couché mes réflexions sur le papier virtuel, il serait peut-être temps que j'aille me recoucher moi.
10 heures, je prends mon petit-déjeuner. J’ai inévitablement dormi plus longtemps que prévu, heureusement c'est dimanche. Avant de descendre, j'ai rapidement griffonné sur un bout de papier : « mythe fondateur ». En dégustant mon repas, je me demande pourquoi cette idée a germé dans mon esprit après tout le flot de pensées précédentes.
Je me remémore soudainement ces croyances religieuses qui, en définitive, n'ont pas leur place dans ce système rationnel. C'est alors que je réalise que le mythe fondateur pourrait être une approche rationnelle pour aborder tous ces aspects allégoriques et mythologiques, fondamentalement irrationnels, et pour extraire la symbolique qu'ils recèlent.
C'est alors que je reviens au mythe fondateur du Martinisme, qui est, d'ailleurs, directement lié à la Genèse. Tout d'abord, il y a Dieu, ensuite, il crée les anges, et voilà qu'une partie de ces anges se rebelle. Il précipite sur la terre ces anges déchus. Quelle idée bizarre ! Car, en définitive, si j'étais à sa place, ce n'est pas sur la terre que je les aurais fait tomber, mais bien dans la matière créée, donc dans l'univers tout entier. Par conséquent, l'univers entier serait sous l'emprise des anges rebelles.
Remarquons que nous sommes confrontés ici à deux ou même trois entités capables de penser et d'agir. Nous ne sommes pas en présence de quelque chose qui serait un automatisme inconscient.
Comme si cela ne suffisait pas, non content d'avoir engendré des esprits, Dieu se met en tête de créer l'homme. Mais pour cela, il a besoin d'un support et d'un monde vivant tout autour. Nous savons que nous sommes issus de ce monde vivant, lui-même provenant de ce support qu'est la matière, et donc de l'univers tout entier.
Mon Martinisme endormi semble avoir été réveillé et requiert de trouver l'interrupteur qui lui rendra la lumière. Ma connaissance de Martinez de Pasqually n'étant pas suffisante, je fais appel à Chat GPT-4 qui va être mobilisé pour m'aider à démêler tout cela. Lui sera clair !
Pour ceux qui ne sont pas familiers, Martinez de Pasqually (1700s - 1774) était un théosophe et mystique français, ainsi qu'un maître maçon qui a fondé l'Ordre des Chevaliers Maçonniques Élus Coëns de l'Univers. Son œuvre principale, "Traité de la Réintégration des Êtres", présente sa philosophie et sa théologie.
Le traité parle essentiellement de la chute de l'humanité dans le monde matériel, de la perte de sa connaissance et de son pouvoir spirituels, et de la façon dont l'humanité peut être réintégrée, ou restaurée, à son état originel divin.
Dans ce contexte, "réintégration" signifie retour à l'unité originelle, la réunion avec la source divine, le retour à la perfection et à l'harmonie initiale, avant la "chute". Ce concept est similaire à celui de "rédemption" ou de "salut" dans certaines traditions religieuses.
C'est un travail dense et complexe, riche en symbolisme et en philosophie ésotérique.
Je demande à l’IA : "La description que fait Martinez de la création, puis de la rébellion des anges jusqu'à la chute de l'homme, est-elle similaire à celle que nous en donne habituellement la Bible, puisque son traité semble issu d'un Midrash et que nous sommes plutôt dans le contexte d'écrits et d'une tradition hébraïque ?"
Réponse : "Martinez de Pasqually, dans son 'Traité de la Réintégration des Êtres', utilise effectivement la structure narrative de la Bible, notamment du livre de la Genèse, mais il y ajoute des éléments provenant de diverses traditions mystiques et ésotériques, y compris la Kabbale juive et d'autres traditions mystiques chrétiennes. Il s'agit donc d'une interprétation plutôt unique de ces récits.
Le récit de la création de Pasqually est différent de celui de la Genèse, dans la mesure où il insiste sur l'existence d'un état préexistant de perfection spirituelle. Selon Pasqually, avant la création du monde matériel, les êtres humains existaient déjà dans un état de pureté et d'union avec le divin. C'est un concept qui n'est pas explicitement présent dans la Bible, mais qui se retrouve dans certaines traditions mystiques et gnostiques.
La chute des anges est également traitée de manière distinctive. Selon Pasqually, cette rébellion n'était pas simplement un acte de désobéissance, mais une tentative de ces anges de s'approprier les pouvoirs de la divinité. En conséquence, ces anges déchus ont été bannis dans le monde matériel, un lieu de limitation et de restriction par rapport à la plénitude divine.
Le péché originel, la "chute de l'homme", est également interprété de manière unique. Pour Pasqually, le péché originel n'était pas simplement une désobéissance, mais un oubli de notre nature divine et spirituelle. Cette chute est liée à notre immersion dans le monde matériel et à notre déconnexion de la source divine.
Voici une chronologie simplifiée des événements du "Traité de la Réintégration des Êtres" de Martinez de Pasqually :
1. Création originelle : Au tout début, Dieu (ou le Principe divin) existait en parfaite harmonie. Les êtres humains, ou plutôt les esprits qui allaient devenir des êtres humains, existaient également dans cet état d'unité avec le divin, en tant que créatures spirituelles pures.
2. La rébellion des anges : Un certain nombre d'anges, dirigés par celui qui deviendrait le Diable ou Satan, se rebellèrent contre Dieu. Cette rébellion fut motivée par leur désir de s'approprier le pouvoir divin. Ils furent alors bannis et tombèrent dans le monde matériel. Ces anges déchus devinrent les "démons", et le monde matériel devint leur royaume.
3. Création du monde matériel et de l'homme : Dieu créa ensuite le monde matériel, le monde que nous connaissons aujourd'hui, et il créa également l'être humain sous sa forme actuelle. Cependant, même si l'homme avait été créé dans le monde matériel, il conservait une étincelle de divinité et de souvenirs de sa condition originelle.
4. La chute de l'homme : L'homme, tenté par les anges déchus, commit l'erreur originelle (le péché originel). Cette erreur n'était pas simplement un acte de désobéissance, mais plutôt une perte de la connaissance de sa propre nature divine et un oubli de son origine spirituelle.
5. L'exil de l'homme dans le monde matériel : En conséquence de cette chute, l'homme fut condamné à vivre dans le monde matériel, loin de la présence directe de Dieu. C'est l'état dans lequel se trouve l'humanité aujourd'hui, selon Pasqually.
6. La possibilité de la réintégration : Cependant, Pasqually croit que l'humanité a la possibilité de retrouver son état original de perfection spirituelle, par le processus de la "réintégration". Cela implique une purification de soi-même et une restauration de la connaissance de notre véritable nature divine.
En somme, bien que Pasqually utilise la structure de la Genèse, ses interprétations et ajouts à ces récits montrent une influence substantielle de diverses traditions mystiques et ésotériques. Son travail n'est pas une simple répétition de la Genèse, mais une relecture et une reformulation de ces récits à la lumière de sa propre philosophie théosophique.
Après avoir interrogé l'intelligence artificielle sur Martinez Pasqually, je me trouve devant un dilemme. D'un côté, le bien et le mal sont présentés comme une illusion de dualité transcendée par une autre réalité, de l'autre, une nature divine qui serait en l'homme et qu'il aurait oubliée.
Est-ce que ces deux visions sont cohérentes ?
Question à ChatGPT4 : “Après avoir lu ta réponse, je me trouve devant un dilemme. D'un côté, le bien et le mal existent en dualité, mais cette dualité serait une illusion transcendée par une autre réalité, liée au ternaire. De l'autre, une nature divine serait présente en l'homme et serait oubliée.
Est-ce que ces systèmes d'explication sont cohérents ou se contredisent-ils ?”
Réponse : C'est une question très profonde et complexe, car elle touche à l'une des plus grandes énigmes de la philosophie et de la spiritualité.
Dans la pensée de Martinez de Pasqually, comme dans beaucoup de systèmes spirituels, les concepts de dualité (bien/mal, spirituel/matériel) et de divinité inhérente à l'homme ne sont pas nécessairement contradictoires, mais font partie d'un système plus large de compréhension de l'univers et de la nature humaine.
1. Dualité : La dualité bien/mal, spirituel/matériel, est une caractéristique du monde dans lequel nous vivons actuellement, selon Pasqually. Elle est une conséquence de la chute des anges et de l'homme. Dans ce système, le bien et le mal ne sont pas absolus, mais sont relatifs à notre état actuel d'existence. Ils représentent différents aspects de notre expérience dans le monde matériel.
2. Divinité inhérente : En même temps, Pasqually soutient que chaque être humain porte en lui une étincelle de divinité, un souvenir de notre état original de perfection spirituelle. C'est cette étincelle qui nous donne la capacité de transcender la dualité et de revenir à l'unité avec le divin. Dans ce sens, la dualité n'est pas une fin en soi, mais plutôt une étape sur le chemin de notre réintégration.
3. Transcendance de la dualité : Selon Pasqually, la réintégration, ou le retour à notre état original de perfection spirituelle, implique une transcendance de la dualité. Cela ne signifie pas nier ou ignorer la dualité, mais plutôt la dépasser en reconnaissant notre véritable nature divine. C'est dans ce sens que la dualité peut être vue comme une "illusion" - non pas au sens où elle n'est pas réelle, mais au sens où elle n'est pas la vérité ultime de notre être.
En conclusion, ces systèmes ne se contredisent pas nécessairement, mais font partie d'une vision plus large de la réalité et de la condition humaine. Ils représentent différents aspects de notre expérience et différents stades de notre voyage spirituel.
Bien. Il semble que ces deux systèmes puissent être cohérents.
Maintenant, la question est : créateur ou pas ?
Allons prendre un bain, peut-être que, comme Archimède, le génie viendra ?
Avons-nous besoin d'un créateur ou pas ?
A priori, pas besoin d'un créateur.
Du moins dans le monde dans lequel nous vivons et par rapport à ce à quoi nous pouvons nous raccrocher qui soit tangible et observable.
Le mythe des grandes religions fondatrices ne vaut pas plus qu'un mythe tribal perdu quelque part au fond de la steppe asiatique, de la toundra ou du désert du Gobi, du Sahara, de l'Australie ou de l'Atacama.
Levons la tête vers les étoiles : il y a bien quelque chose de bien plus grand que nous qui règne au-dessus de nous.
Il y a bien quelque chose qui nous dépasse, qui est observable à la mesure de nos moyens.
Ce quelque chose est-il mû par une conscience, une pensée, une intention ? Mystère. Mais à priori, je n'en vois pas la démonstration.
Surtout une démonstration qui aboutirait pour des poussières sur un confetti quelque part dans l'univers.
L'intention, s'il y en a une, le programme, s'il y en a un, doit être inhérent à tout ce système.
Des algorithmes doivent l'animer ou du moins le régenter.
Des mécanismes simples et descriptibles, mais dont le résultat est impossible à déterminer. Le résultat est impossible à prédire sur le long terme.
Voilà la réalité.
Séchons-nous et allons vite écrire tout cela avant que les idées ne filent à l'anglaise.
Et si je me penche sur le mythe fondateur qui voyage, sur les mécanismes de pouvoir qui ont l'air de s'être animés dans cette tragédie cosmique.
Un bloc qui se divise en deux blocs.
Des tentatives de réunifications qui finissent en divisions encore plus fortes.
Tout semble vouloir tourner autour de la fragmentation, la réunification, la multiplication et l'élimination.
Un peu comme les planètes et les constellations, toutes issues d'un Big Bang, donc une grande fragmentation et multiplication, avec des regroupements : les planètes, les étoiles, et tout ce système vit et meurt à son échelle, se rassemble et se disloque au rythme de l'univers et de ses lois.
Voilà que Spinoza s'invite de nouveau à la table.
Puis Grégory Bateson et Watzlawick repointent le bout de leur nez.
En fait, cet univers est cybernétique, me dirais-je avec Grégory Bateson. Je ne sais pas s'il l'a dit ainsi, mais c'est ainsi que je le comprends. Et Watzlawick revient avec cette dualité qui conduit à des paradoxes inhérents.
En fait, ce qui résonne et ce qui est vivant semble fonctionner sur un mécanisme "on-off", 1 ou 0, bref, une dualité inhérente dans sa manière de raisonner.
Mais à travailler avec des uns et des zéros, la nuance est difficile, même si elle est possible car elle nécessiterait une multitude de uns et de zéros derrière le grand un et le grand zéro.
C'est peut-être de là que naît cette dualité et ses contradictions.
Avec ce charmant raisonnement, c'est le créateur qui semble avoir filé à l'anglaise plutôt que mes idées. Car si Dieu doit lutter pour le pouvoir contre des anges rebelles, je suis désolé, nous sommes face à des mécanismes qui ont l'air de transcender la divinité et ses rejetons, qu’ils soient fidèles ou opposants.
Donc, soit Dieu se cache derrière ces mécanismes, soit il en fait partie, et il y a peut-être quelque chose derrière, mais vu mon entendement d'humain, il est difficile de pouvoir le percevoir. Le mieux est sans doute d'accepter cette impossibilité et d'en rester à ce que j'ai déjà là, ce qui me semble bien suffisant faute d'être pleinement satisfaisant.
Bon, il serait peut-être temps de me mettre à table ? Il est midi trente !
Dimanche, 23h02.
Il a plu, il bruine, plus rien.
Le soufflet de ma pensée est retombé, me laissant plat.
Il faut que je sois patient.
Depuis le temps, je peux considérer que le mieux est de prendre son temps.
Bonne nuit.
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