A la recherche d'une Alchimie Spirituelle Avec La Nature et son Essence Immanente.
A la Recherche du Logos mais sans imposer un Dieu indémontrable et indémontré un "divin" plutôt "dit vain".
Ou Comment J'ai Décidé de Communier avec le Cosmos ou mieux encore le CosmoLogos !
Salutations, cher lecteur ! Si vous vous attendiez à un guide touristique du cosmos, une brochure sur les mystères de l'alchimie ou même une simple playlist de relaxation, je crains que vous soyez un peu déboussolé. Pourtant, ce qui vous attend est un mélange fascinant de tout cela, saupoudré d'un zeste d'excentricité – car après tout, quelle serait la vie sans un peu d'épice ?
Permettez-moi d'introduire un terme qui, je pense, capture l'essence même de ce voyage : 'CosmoLogos'. Une fusion entre 'Cosmos', qui évoque l'univers entier en tant que système ordonné et harmonieux, et 'Logos', le principe divin qui forme et anime cet univers. Ensemble, ils incarnent la vision d'un cosmos non seulement comme une vaste étendue de matière, mais aussi comme un espace animé et guidé par une intelligence divine. Une vision où le divin est immanent, non pas dans une figure lointaine et abstraite, mais dans la matière même qui nous entoure, l'essence sacrée de la vie.
Après avoir perdu Dieu quelque part dans un recoin de ma bibliothèque, entre Spinoza et un grimoire alchimique, j'ai dû réfléchir à la manière dont je voulais redéfinir mon rapport au sacré. Et si le Divin n'était pas perché sur un nuage, mais résidait plutôt dans les atomes, les étoiles et les mélodies qui bercent notre quotidien ? L'Univers, dans sa splendeur infinie, est devenu mon Temple, et la musique, l'agent officiant qui guide mes prières.
Avec une pointe d'humour et une profonde admiration pour l'Univers, je vous invite à explorer avec moi cette vision quelque peu excentrique, mais ô combien fascinante, de la musique en tant que médiateur pneumatique entre l'homme et le sacré immanent. Prêt à embarquer pour cette odyssée sonore ?
De nombreux auteurs et penseurs ont abordé la musique comme un moyen de se relier au "divin" ou à une réalité transcendante. La musique a souvent été considérée comme un langage universel qui peut élever l'âme et la connecter à des réalités plus élevées. Voici quelques auteurs et leurs perspectives sur la musique et le divin :
1. Platon : Dans "La République", Platon discute du rôle éducatif de la musique et de son influence sur l'âme. Il croyait que certaines formes de musique pouvaient élever l'âme, tandis que d'autres pouvaient la dégrader.
2. Pythagore : Ce philosophe grec ancien croyait en la "musique des sphères", une harmonie cosmique produite par les mouvements des planètes. Pour lui, la musique avait le pouvoir de résonner avec cette harmonie universelle.
3. Rûmî : Ce poète soufi persan a souvent utilisé la musique et la danse comme métaphores pour la communion avec le divin. Les derviches tourneurs, par exemple, utilisent la danse et la musique comme une forme de méditation et de connexion avec Dieu.
4. Aldous Huxley : Dans son essai "La philosophie éternelle", Huxley explore comment la musique, en tant qu'art non-représentatif, peut être un moyen direct de percevoir l'Absolu ou le divin.
5. Swami Vivekananda : Ce philosophe et moine hindou a parlé de la musique comme d'un moyen de se rapprocher de Dieu. Il croyait que la musique pouvait élever l'esprit et aider à la méditation.
6. Johann Sebastian Bach : Bien que principalement connu comme compositeur, Bach considérait sa musique comme un moyen de louer Dieu. Beaucoup de ses œuvres sont profondément religieuses et sont destinées à élever l'esprit vers le divin.
7. Hildegard von Bingen : Cette mystique chrétienne médiévale a composé de nombreuses œuvres musicales inspirées par ses visions religieuses. Elle croyait que la musique avait le pouvoir de connecter l'âme à Dieu.
Ces auteurs, parmi d'autres, ont reconnu le pouvoir de la musique non seulement comme une forme d'expression artistique, mais aussi comme un moyen de se connecter à une réalité plus profonde ou divine. La musique, dans de nombreuses traditions et cultures, est considérée comme un pont entre le terrestre et le céleste, entre l'humain et le divin.
Avant d'aller plus loin, attardons-nous un instant sur cette appellation pour le moins singulière : 'Musicalkhyanima'. À la première lecture, vous pourriez être tenté de croire que j'ai simplement trébuché sur mon clavier ou que j'ai laissé mon chat errer librement sur celui-ci. Mais non, derrière ce nom se cache une profonde alchimie lexicale.
Commençons par 'Musica'. La musique, ce doux mélange de notes et d'harmonies, est à la base de ce voyage. Elle est le médiateur, le pont entre nous et le grand tout, la vibration universelle.
Ensuite, 'Alkhya' provient de l'alchimie, cet ancien art de transformation. Mais je ne parle pas simplement de transformer du plomb en or. Non, je fais référence à la quête intérieure, à la transformation de l'âme, à la découverte du divin en chaque matière.
Et finalement, 'Anima'. L'âme, l'esprit, l'essence même de la vie. C'est ce qui donne vie à notre voyage, ce qui lui donne du sens, ce qui lui donne une raison d'être.
Alors, quand vous mélangez tout cela ensemble, vous obtenez 'Musicalkhyanima', un terme qui, je l'admets, pourrait ressembler à un sortilège tiré d'un vieux grimoire. Mais c'est bien plus que cela. C'est une invitation à un voyage sonore, alchimique et spirituel.
Et, bien sûr, le choix d'un tel nom n'est pas exempt de conséquences. En effet, j'ai rapidement réalisé que j'allais passer une bonne partie de mon temps à expier cette audace linguistique. D'abord, j'ai le défi herculéen de m'en souvenir moi-même – chaque fois que je dois l'énoncer, je dois m'assurer de ne pas trébucher sur ses syllabes comme un novice lors de ses premières marches rituelles.
Ensuite, il y a la répétition incessante, chaque fois que je dois l'écrire. Chaque lettre, chaque syllabe, c'est comme graver de nouveau le sceau de mon audace.
Mais ce n'est pas tout! Oh non, le cosmos a un sens de l'humour particulier. J'anticipe déjà les sourires en coin et les regards perplexes des internautes découvrant ce terme pour la première fois. Et que dire de mes Frères et Sœurs des Ateliers, qui ne manqueront sans doute pas une occasion de se gausser de ma tentative, à la fois audacieuse et maladroite, de fusionner le céleste et le terrestre en un seul mot.
Alors oui, le chemin de l'expiation sera long et sinueux. Mais peut-être, juste peut-être, à travers ce nom, certains trouveront une résonance, un écho, un appel à se joindre à cette quête hors du commun ?
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